On conçoit sans peine que les amis étrangers peinent à suivre : Un sénateur de la République, ancien tout (puisqu’il a tout fait dans la carrière des horreurs politiques), tout frais condamné par la justice, traite un ancien président de la République (lui même promis à la correctionnelle) et un ancien Premier ministre (lui-même en correctionnelle) de pleutres, tout ça sur fonds de trafic d’armes, rétrocommissions, concusssion et autres menues félonies.
Shakespeare ? Non. Puzo, auteur du Parrain.
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