Sarkozy a déclenché une sérieuse polémique avec nos partenaires européens en épinglant l'action de la BCE et en s'en prenant sans ménagement au président de l'Eurogroupe, Juncker, le placide luxembourgeois (qui, lui, fait de son duché une puissance financière et un rare îlot de prospérité)
C’est-y le retour de la diplomatie de la petite phrase et des gros dégâts collatéraux, pour laquelle le défunt Chirac était justement célèbre ? Le retour aussi du c’est moi le chef, c’est moi qu’ai toujours raison ?
Les populations européennes et leurs chefs de tribu vont certainement s'abimer dans les délices de l'admiration et porter l'estime de notre pays à des niveaux encore jamais atteints.
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