Forcé, le miracle de Notre Dame des Landes n'aura pas lieu car le projet reste une énorme bouse sur les chemins fleuris du bocage nantaise et une mine à faire sauter n'importe quel gouvernement.
Le projet date initialement de 1963, c'est dire s'il est moderne et finalement attribué à la société Aéroports du Grand Ouest, filiale de Vinci Airports et dont les actionnaires principaux sont Vinci Airports, la CCI Nantes Saint-Nazaire et l'Entreprise de Travaux publics de l'Ouest (ETPO-CIFE) dans un partenariat public-privé qui doit beaucoup au contribuable et qui célèbre l'union sacré du béton débordant et de la gestion municipale et régionale désintéressée.
Donc, à ma gauche, Hulot et ses écolos à ma droite Philippe et ses constructivistes, au milieu mon Macron qui ne tient pas à tout faire péter et au fond, dans les broussailles, les ZADistes. Le coup de la commission pour enterrer le truc est un peu usé alors l'idée géniale est de promouvoir une médiation, mot magique pour résultat incertain mais qui permettra de gagner quelques mois et...de conserver Hulot au ministère ?
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