En 2015, Paris a connu 53 jours avec une pollution faible, le reste des jours étant propice, selon les dates, à la toux sèche ou au crachat des poumons.
Ce blog commence à dater sérieusement; Il a largement et successivement puisé dans les joies moroses et finissantes du chiraquisme, les hoquets nerveux du sarkozysme et l’engourdissement mortel du hollandisme. Plus ça change, plus c’est la même chose... Place à Emmanuel le Nouveau Berger
samedi, mars 12, 2016
Demain on respirera gratis
A défaut de lutter contre la pollution (entreprise coûteuse et politiquement sensible, plus simple de ne rien faire), on est très bon pour l'analyse de la dite qui ce matin à Paris est toute printanière avec des taux entre 80 µg/m³ et 100 µg/m³ pour l'Ozone (O3), entre 80 µg/m³ et 100 µg/m³ pour le Dioxyde d'Azote (NO2) et entre 50 µg/m³ et 60 µg/m³ pour les Particules (PM10)
La maire de Paris (c'est elle qui cause) a soumis au Conseil de Paris en février un plan sans précédent (depuis celui de l'année d'avant), qui allie des mesures immédiates d’incitation à l’évolution des usages et des mesures progressives de restriction de la circulation des véhicules polluants afin de faire de Paris une zone à basses émissions. Dis, Tatie, pourquoi tu tousses ?
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