Face aux accusations réitérées du président rwandais de complicité génocidaire française, Juppé, ministre des affaires étrangères aux temps du génocide rwandais, soutenu par l’immense Balladur, écrit :
J'appelle le président de la République et le gouvernement français à défendre sans ambiguïté l'honneur de la France, l'honneur de son armée, l'honneur de ses diplomates"
Quand on emploie de telles formules pour convoquer les mânes de premier rang, c’est généralement qu’on a quelque chose de très gros à cacher que la presse commence à dévoiler avec une infinie prudence:
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20140404.OBS2776/la-france-a-t-elle-menee-une-guerre-secrete-au-rwanda.html
D’autant que le juge Trévidic qui instruit l’affaire Barril se voit obstinément opposer le secret Défense, autre manifestation classique de la bonne volonté gouvernementale de faire la lumière.
La vérité est en marche, à tout petit pas mesurés. En voilà un !
http://www.lepoint.fr/monde/rwanda-1994-un-ancien-officier-conteste-l-operation-turquoise-07-04-2014-1809849_24.php
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