Outre son brevet de socialo de gôche, c’est certainement à ses éminents titres universitaires que le nouveau ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche (trois sujets mineurs) doit son petit maroquin : il est licencié d’histoire, et, s’il vous plait, de la glorieuse université de Brest qui est géographiquement la plus proche de Harvard en France.
On ne l’accusera pas non plus de pencher pour un secteur d’activité particulier car il n’a jamais travaillé un seul jour de sa vie sauf si on considère que faire de la politique et tricoter dans les cabinets ou les officines du parti, c’est travailler.
Apparatchik de choc, libre de tout diplôme stigmatisant comme de toute expérience handicapante, il sera parfaitement à même de saisir les enjeux d’un dossier dont Hollande avait fait le chantier le plus important de son règne.
Enfin, le plus important avant les municipales…
Reste une très belle carrière et une série époustouflante d'entrechats idéologiques. La Révolution c'était hier...
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