dimanche, novembre 06, 2011

Grecs, mes frères

Les fines manoeuvres des socialistes grecs et les convolutions du Papandréou sont largement incompréhensibles si on ignore que la classe politique grecque est le décalque de la française et inversement. Comment on dit pourris et ripoux en grec, et réciproquement?

Plutôt saigner le pays que de laisser échapper le moindre bénéfice, la plus petite sinécure ou le cumul du plus infime des mandats s'ils sont assortis de frais de représentation et de fonctionnement ou, mieux encore, d'une retraite ou de plusieurs retraites.

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