vendredi, janvier 07, 2011

Les parallèles ne se rencontrent pas

Nos élites politiques sont toujours promptes à dénoncer les abus dans la Birmanie de l'Ouest ou les violations des droits de l'homme au Darfour. Plus c'est loin, plus c'est critique.

En revanche quand la jeunesse d'Algérie et de Tunisie s'agite contre nos grands amis humanistes les démocrates Ben Ali et Bouteflika, ça sent très dur l'embarras de parole et l'enrouement de la pensée tant du côté de l'Elysée que de Matignon.

Déjà on a soutenu contre vents et élections les Bongo successifs si généreux avec nos partis et nos élus...

D'ici à penser que...mais non, ce serait de la pure médisance...

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