Le dossier médical personnalisé est né en 2004 sous le règne éclairé de feu Bouste-Dlazy (vous-vous souvenez ?)
Il a fait la fortune des consultants et grosses boites informatiques au profit desquels il a consommé quelques centaines de millions de crédits publics. On entre dans la phase expérimentale N°2. La n°1, comme prévu a heureusement totalement foiré, ce qui ouvre la porte à toutes les espérances.
C'est simple : "Le processus de versement de 2 millions de dossiers (en 2011) est conditionné globalement par deux exigences : d’une part, les logiciels administratifs des médecins et des établissements de santé devront savoir lire et générer un identifiant, l’INS-C, calculé sur la base d’éléments de la carte Vitale, et d’une partie du numéro de sécurité sociale. D’autre part, les producteurs de soin devront respecter le cadre d’interopérabilité défini par l’Asip. Une interopérabilité de contenu (structure de fichier, syntaxe…), de services (règle d’échange) et de transport (interconnexion technique"
Parti comme ça, on en prend pour 30 ans et pour quelques milliards €, pour un résultat que...bon je te laisse deviner.
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