La Haute Autorité de lutte contre le piratage (Hadopi) a dévoilé les résultats de sa première étude sur les usages des Français. Conclusion : le piratage se porte aujourd’hui mieux que hier (et se portera demain mieux que jamais)
Logique. Quand on confie la rédaction de la loi à des attardés technologiques poussés aux fesses par des lobbies conservateurs et rétrogrades, on est à peu près certain du résultat.
Obstinés dans le maintien de ce qui s’écroule, les Hadopiens vont focaliser sur une autre technologie que celle, disparue, qu’ils chassent actuellement avec tant de célérité et compétences. Ils arriveront identiquement à l’effet inverse de celui qui est recheché et contribueront puissamment à la diffusion du piratage institutionnel.
Un bon pirate s’abonne désormais à un bon site pirate de piratage, inaccessible aux instruments des hadopiens qui, à l’instar des Indiens apinaje, chassent l’avion à la sarbacane magique.
Un seul bon point pour les heureux bénéficiaires. La loi Hadopi a permis de créer au côut de 13 millions€ une ruche de fonctionnaires super bien payés et harmonieusement distribués dans l’organigramme géant donné ici :
http://www.hadopi.fr/la-haute-autorite/directions-de-l-hadopi/l-organigramme.html
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