Les Africains sont de grands enfants. Comme ils sont incapables de fêter proprement le cinquantenaire de leurs indépendances qu'on leur a données, c’est nous qui s’y colle et qu’on leur prête les Champs-Elysées. C’est-y pas grand et généreux ?
Sarkozy en a profité pour annoncer hier l'alignement des pensions de tous les anciens combattants résidant à l'étranger, quelle que soit leur nationalité.
Il faut donc réformer la loi de 1959 sur la cristallisation des pensions (p.m. un Viet touche dix ou vingt fois moins qu’un français)
Le temps de repondre une loi, d’écrire les décrets d’application, il y faudra quelques années avant de rendre la mesure effective pour le budget de l’année d’après.
Autant de gagné, autant à ne pas payer vu que la mortalité chez les 30 000 anciens combattants de nos anciennes colonies est forcément élevée, vu l'ancienneté des conflits.
Avec un petit effort et de la patience, on arrivera à effacer tous les anciens combattants étrangers du Grand Livre de la dette avant même d’avoir déboursé un fifrelin. Fortiche qu'on est, non ?
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