Après les pertes dues aux sub-primes, après la saga Kerviel, les abîmes de la SGAM et les mistigris du Bouton d'or, voici venu le temps des délits d'initiés. On ne chôme pas à la Générale où il se passe toujours quelque chose.
C'est les employés qui doivent être contents en lisant leurs bulletins de salaire, contents d'appartenir à une banque assez prospère pour se prendre en moins de deux ans des culottes équivalent aux budgets réunis de la Culture et de la Justice.
Heureusement, c'est le mois d'août...
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