L’arme ultime contre le virus de la grippe paraît être le lavage de mains répété et consciencieux, sans pour autant postillonner et cracher sur le voisin.
A l’école primaire, au collège puis maintenant au lycée de l’héritier j’ai toujours visité les latrines et les feuillées pour y constater , là comme ailleurs, l’aimable dédain dans lequel les Gaulois tiennent l’hygiène des lieux d’aisance. Une visite dans une brasserie parisienne offre généralement un échantillon assez complet des détails les plus croquignolets.
A tel point que l’héritier a pris l’habitude depuis son plus jeune âge de se retenir et de réserver le fruit de ses entrailles pour les chiottes familiales, et de se laver les mains matin et soir seulement, dans le lavabo de notre yourte.
Hygiène, quand tu nous tiens.
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