mardi, juillet 17, 2007

Natürlich

Les Allemands grignotent nos positions dans EADS. Est-ce surprenant ? Est-ce un mal ?
Pas si sûr, si on se souvient de la bagarre de Forgeard pour renverser Philippe Camus avec l’appui de l’Elysée (Forgeard était conseiller à l’industrie à Matignon en 1986), du mot de Jurgen Schrempp, le patron de DaimlerChrysler, actionnaire d'EADS, nommant à la coprésidence Thomas Enders avec la consigne : «surtout ne rien lâcher» aux Français »
C’est fait

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