Le Villepin est mis en examen pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux", un motif assez chic pour un des meilleurs d’entre nous.
Il oriente son affaire vers la saisine de la Cour de Justice de la République, un machin créé en 93 pour amortir la force du bras de Thémis sur les ministres et composé de 12 parlementaires et 3 magistrats de la cour de cass.
La CJR est connue pour la rapidité de ses décisions. Pasqua, protégé par l’immunité sénatoriale, y est déféré depuis 2004 dans l’affaire de la SOFREMI dont les prémices remontent au début des années 90...
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