samedi, décembre 24, 2005

La presse se meurt, la presse est morte

Dans mon quartier, trouver un journal dans la semaine devient un parcours de santé ; le dimanche un parcours du combattant.
En plus le journal est cher.
En plus, entre journalistes polis du Monde et journalistes poilus de Libé (vétérans de 68) il faut choisir de lire entre les lignes.
Comme me dit avec courtoisie, le marchand de journaux ambulant du marché, ya pu qu'des vieux qui m'achète.

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