Depuis des années le Gouvernement (enfin, ce qui prétend en tenir lieu) couine que c’est la faute de l’étranger si le chômage, la désindustrialisation, la dette, le déficit etc.
Aujourd’hui le prix du pétrole est divisé par deux, l’euro baisse, les taux d’intérêts plongent et la conjoncture rosit.
Il ne faudra pas six mois avant que les mêmes couinent que c’est la faute à l’euro faible, aux rentrées minorées des taxes sur les carburants et à la désinflation pétrolière si le chômage, la désindustrialisation, la dette, le déficit etc.
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