Les éconocroques programmées sur papier sont donc tout simplement une tentative de ralentissement de l'augmentation, une goutte d'eau dans l'océan des 1200 milliards de dépenses publiques, juste dans l'épaisseur du trait.
Elles sont surtout une manière plus sexy de présenter les choses, d'autant qu'avant de mettre en oeuvre ces fausses économies, les bondes de la vraie dépense ont été ouvertes, Philharmonie, trou des halles, stades de l'Euro 2016, Pentagone Balard, et autres innombrables éléphants blancs aux incalculables dérives financières.
Contribuables, attachez vos ceintures !
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