Le nouveau, jeune et élégant ministre de l’économie ne doute de rien, et surtout pas de lui-même.
Il entend « changer les mentalités » et donner un « choc de confiance », en s’attaquant aux « trois maladies » françaises que sont la défiance, la complexité et le corporatisme et qui empêchent de "libérer, investir et travailler"
Aux trois maladies, on serait tenté d'en ajouter une quatrième, la suffisance...
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