Il devra "combiner trois dimensions", a expliqué le ministre (sans rigoler) : le "redressement" des comptes publics, "indispensable", la "justice sociale" et enfin le "dynamisme économique".
Il compte (il peut toujours rêver mais il est le seul à le faire) sur une croissance économique de 0,8 % ...
Ce n’est absolument pas un budget de rigueur, soutient-il avec le même sérieux, avec 10 milliards de moins sur les dépenses et 20 milliards en hausses d'impôts (a partir de combien de milliards le mot rigueur cesse-t-il d'être obscène ?)
La chute vertigineuse, dans les sondages, de la troupe comique qui fait semblant de nous gouverner dit assez le crédit fait par les couillons de gouvernés aux prétentions des comédiens du pouvoir.
Petit cachottier, va !
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