En sus des fortunes que le contribuable a consacré à la prime à la casse, Peugeot a reçu 4 milliards € d'argent public. S'ils n'arrivent plus à vendre leurs bagnoles, c'est la faute aux salaires trop élevés et aux syndicats revendicatifs et pas du tout à l'incapacité managériale des dirigeants.
C'est dire si on peut craindre le pire à l'annonce d'un plan d'aide public à la filière automobile, annoncé par Hollande pour le 25 juillet: Excellent management, énarchie inventive, charges sociales en hausse, c'est la potion magique pour un nouveau triomphe.
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