Les prothèses frauduleuses PIP ont été retirées du marché en 2010 mais, dès 1996, les pratiques de la société de Jean-Claude Mas ont interpellé les autorités, révèle le rapport remis, mercredi 1er février, au ministre de la santé par le directeur général de la santé et le patron de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (on ne rigole pas)
Comme dans le cas du médiator, il aura fallu 15 ans pour que les fonctionnaires se remuent le crayon. Sans parler du fabuleux business de la pose des dits enjoliveurs.
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