mercredi, août 17, 2011

Quand on n'avance pas, on recule

La presse et le marché sont ingrats. Ils soulignent à l'envie que Sarko s'est couché devant Angela et que les deux remettent aux calendes grecques les décisions opérationnelles.

Faut dire qu'en 2002 la dette publique française était de 915 milliards € (source INSEE)
en 2010, de 1591 milliards (source INSEE); alors forcément, c'est coton de tordre le bras à l'Angela.

C'est bien injuste si on considère que les choses les plus importantes au monde sont (dans l'ordre) l'élection de 2012, le piégeac tendu aux Socialos (ça marche assez bien, merci) et les vacances d'été.

Les deux chefs d'Etat proposent de suspendre les fonds structurels aux pays de la zone euro ne baissant pas leurs déficits. Ca, c'est de l'humour , vu qu'on est les premiers à ne pas baisser les déficits....

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