J'aurais préféré qu'en 1867 Napoléon III et Bismarck aient un entretien qui débouche autrement et que le Luxembourg n'existe pas."
La phrase longuement méditée lâchée par Philippe Marini (rapporteur de la commission des finance du Sénat)samedi sur France Culture est le fruit d’une vive intelligence politique et contribue à améliorer les relations entre la France et le Luxembourg.
Aujourd’hui, François Fillon a dû présenter ses excuses et se désolidariser du sénateur UMP.
Ca lui fait un très joli canotier au Marini...
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