Roissy CDG est la parfaite incarnation du génie national avec son organisation imparable, sa propreté méticuleuse et l’amabilité de ses services.
Lundi, et vous me croirez si et seulement si vous y avez quelquefois mis les pieds, j’ai été dirigé vers le mauvais terminal de bagages et rencontré Boubouroche et Kafka d’Aéroport de Paris, qui m’ont aidé(?) à récupérer mon baluchon après un parcours d’obstacles de plusieurs miles nautiques.
Faut dire que les employés d’AF avaient l’air aussi paumés que moi et ceux d’ADP pressés de finir la journée (ça se passait aux petites aurores blêmes) tout ça avec la courtoisie bien connue des fonctionnaires tôt réveillés.
Pour plus de détail et la suite de l’aventure, on consultera la revue Que Choisir n° 472 de ce mois qui accorde gracieusement deux carrés noirs (équivalents scolaires du zéro pointé) à tout ce qui se fait à Roissy et conclue son étude avec retenue : Des améliorations sont tout à fait possibles et à peu de frais (sic)
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