Imaginez en 2012, le Stade de France, plein comme un oeuf de 100 000 militants jeunes et enthousiastes, acclamant (au hasard) le très charismatique Delanoê candidat à la présidentielle, ou alternativement bavant d'admiration et d'affection pour le très charismatique Copé candidat à la présidentielle, tous les deux étant propres à susciter des dévouements héroïques et aptes à tracer la route de la République dans la mer d'amertume de la mondialisation.
Oui, je sais, dur, très dur, très très dur à imaginer.
Une chose est certaine, la possibilité d'avoir un jeune et grand noir pour fouetter nos espérances est statutairement écartée au profit des petits blancs secs.
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