Vous vous souvenez. A la suite des incidents nucléaires au Tricastin, le public était assuré que les nappes phréatiques de France faisaient l'objet d'une surveillance scrupuleuse...
"Nos experts n'assurent aujourd'hui quasiment aucune surveillance des nappes phréatiques." Didier Champion, directeur de l'environnement et de l'intervention à l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire met brutalement les points sur les i.
En parler au moins d'août diminue les risques, comme la nouvelle (publiée en douce) de l'augmentation du gaz et de l'électricité.
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