La radio mouline inlassablement la passionnante info sur les JO. Difficile pour les journalistes de maintenir intacte la ferveur nationaliste quand les médailles tombent au compte-goutte, sur des spécialités ...bon, on veut vexer personne.
D'ores et déjà, en préparation d'un éventuel mauvais bilan, on prend dialectiquement en compte la chaleur, la pluie et la pollution qui ont un effet vénéneux sur nos champions, les usines à performances des communistes chinois dont..vous voyez ce que je veux dire.
Par contre, silence radio sur le Classement de Shanghai (encore les Chinois) des meilleures universités du monde où la France, une fois encore, recule vers la queue du peloton. Comme disent les syndicats, c'est pas les universités qui faillissent, c'est la méthodologie du classement qui déconne.
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