Au sortir du quart de siècle de la glaciation chiraco-mitterandienne, la promesse de Sarko de ne pas mentir résonne à la fois comme une terrible accusation et un (très)modeste message d'espoir.
C'est qu'au cours de ces années terribles où l'incompétence le disputait à la gabegie, l'idéologie à la bureaucratie, la concussion à la démission, on a certes appris à se contenter de très peu mais on n'est pas arrivé à se départir totalement d'une fragile petite espérance.
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