dimanche, mai 20, 2007

Il n’y a pas de gouvernement populaire. Gouverner, c’est mécontenter (A. France)

Dans le combat pour la rupture tranquille, Sarkofillon a de très gros atouts : une administration réduite, efficace et prospective, des syndicats représentatifs et progressistes, des grands corps de l’état qui ne vivent que pour le service du public, une justice pleine d’alacrité et un parlement dont le désintéressement et le dévouement font l’admiration des citoyens. Comment ne pas être plein de confiance ?

P.S. Le sous-titre de ce blog [L'actualité (sous forme brève) du monde comique de Chipin, Villerac, Hobius, Fallande et consorts] n’est plus adapté à nos glorieuses réalités, les quatre susnommés ayant été balayé hors du champ du réel. Le management est à la recherche d’une nouvelle formule. Une idée ?

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