Il est fort le Nicolas.
En quelques heures, il donne l’impression de mettre un terme à la glaciation chiraquienne, renvoie les vieux trognons fripés de son parti au cimetière parlementaire (pas tous, hélas), déstabilise admirablement les socialos épatés de tant de culot, s’empare du drapeau rouge de Guy Moquet à la barbe des rares cocos survivants et, dans la foulée, fait une bise européenne bien sentie à la Bundeskanzlerin.
Admirable.
Au bord d'une possible réusssite, il n’a plus qu’un seul ennemi, lui-même.
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