C’était pendant les vacances d’été 2006 et Chirac agitait furieusement la paix au Liban comme un drapeau électoral.
Six mois après, la FINUL assiste, impuissante dans la plus belle tradition onusienne mais à nos frais, à l’intensification de la contrebande d’armes de la Syrie vers le Hezbollah qui réarme à toute vapeur et dont la branche politique s’attache à faire péter le cadre institutionnel.
Tout ce qu'on trouve à faire, c'est d'accuser Israel de violer les termes du cessez le feu ! Plus facile à faire que d'accuser le Hezbollah !
Tic tac tic tac, boum, c’est une question de jours.
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