Dans son discours d'Angers sur l'éducation (au delà du style oratoire digne des grands ancêtres de la troisième république), Sarko veut donner plus d'autonomie aux établissements, plus de liberté pédagogique aux profs, évaluer les profs sur les résultats des élèves et pas sur la réalisation des circulaires (imbaisables) de l'administration, mettre en place une filière d'excellence pour la formation des profs, abandonner le collège unique, etc. J'en passe et des plus croustillantes.
Bigre.
C'est le genre de propos irresponsables que les syndicats attachés au service public devraient condamner rapidement en organisant une journée d'action et qui, fussent-ils réellement appliqués, foutraient en l'air la meilleure école du monde dont la perfection immuable est garante de la pérennité et de l'admiration constante des étrangers.
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