samedi, mai 14, 2005

Si l'ennui était mortel, l'école serait un cimetière

Je suis de près les études de mon petit-fils qui est présentement en classe de sixième, où j'usais mes culottes il y a 45 ans. Il est parfaitement rassurant de voir que rien n'a changé en ce demi-siècle, ni les programmes, ni la pédagogie, ni les méthodes, non plus que la certitude absolue que l'enseignement des langues vivantes se confond admirablement avec celui des langues mortes. Merci à l'Inspection générale de maintenir ainsi les grandes traditions séculaires.

Aucun commentaire: