Nous sommes en effet le seul pays au monde à confier le placement universitaire et l'orientation de nos 2 millions de jeunes bacheliers à un algorithme APB (qui manifestement ne suit pas le rythme) alors que partout ailleurs sur la planète l'accent est mis sur un placement individualisé des candidats.
La recette est connue, tu construis dans l'arrière cuisine un programme informatique foireux sur les bases d'un cahier des charges délirant, avec un nombre si élevé de paramètres que ça bug à tous les étages et qu'on ne sait plus quoi faire sauf à prendre un cahier et un crayon pour repousser les murs des établissements.
On attend la création de la commission parlementaire sur la naissance et l'histoire du monstre APB...
en sachant quand même qu'il n'y a pas de responsables, rien que des incapables.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire