Au jeu des gendarmes et des voleurs, les drones sont gagnants. C’est dommage, mais le Charles-de-Gaulle est trop loin pour qu’on le fasse intervenir dans la lutte titanesque qui s’engage entre quelques coquins et la puissante machine de police française.
Evidemment un gouvernement qui n’est déjà pas capable de faire passer le permis de conduire à ses jeunes pour un prix raisonnable démontre surabondamment le vieux théorème que, pour les nuls, le plus simple est souvent très compliqué.
La publicité réservée à cette affaire excite tout naturellement les petits farceurs techno, stimule la vente des drones domestiques (à partir de 100 € dans les bonnes maisons) et fait rigoler le public (sauf les énarques du ministère de l’intérieur) qui rêve de drones bio capables de larguer des fientes énormes sur des endroits significativement choisis.
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