Le président avait l’air guilleret et singulièrement content de lui en répondant aux questions si polies des journalistes qui l’interviouvaient pour le 14 juillet
Il y a de quoi, il a réussi à tenir plus de 15 minutes sans rien dire sur rien, non rien de rien, en enveloppant son propos dans un tissu de mots codés, de lapalissades, de formules hypnotiques et de protestations de bonnes intentions et de réformes qui demain donneront leurs fruits. Elles sont sur la route, comme la baisse des impôts de la classe moyenne, prévue en 2015.Comme si c’était fait.
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