Il nous manque décidément un Saint Simon pour chroniquer dans le menu les pantalonnades brenneuses de l’opposition que le ciel nous a infligé et que l’enfer nous conservera.
En trois jours, Sarkozy découvre qu’il se serait fait financièrement empapaouté par le chef mal élu de son propre parti et qu’il est trahi par l’Idéologue chauve, réchauffé en son sein, qui avait inspiré ses plus belles pages de littérature maurrassienne.
En même temps les médias annoncent des perquises chez l’avocat du Sarko et un magistrat de la cour de cassation dans le cadre d’une enquête contre X de trafic d’influence, enquête qui n’a rien à voir avec ce qui précède. En principe.
Une telle accumulation de délits, turpitudes et forfaits en si peu de temps est de nature olympique. La réponse du citoyen ne peut être que sportive.
Sautez par-dessus les urnes, cercueils de nos espérances, et passez à la case suivante !
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