Gouvernement disparu, ministres aux abris, secrétaires d’état aux abois, cabinets diarrhéiques, président mutique, tout est en place pour faire croire à un remaniement ministériel dont la rumeur est soigneusement entretenue par la presse (ça fait monter les tirages ?) et par ceux, très nombreux, qui s’y voient ou s’y croient.
Mais au fond, ce serait comme un reniement refoulé que de ressortir les antiques tromblons des anciennes guerres comme Fabius ou Aubry…
Et promouvoir les jeunes qui poussent de la tête du genre Walls, qu’est-ce que ça pourrait bien changer, à part susciter une concurrence dont le chef aimera se passer ?
Dans le deux cas, ce serait un miracle qu’une nouvelle équipe (même resserrée) puisse ensoleiller la deuxième partie du quinquennat. En effet , dans le manque de courage et la logomachie usée, les Anciens valent les Modernes.
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