Il a un mois, Bachar el-Assad était menacé de tous les feux de l'enfer par Hollande, nouveau dieu de la Guerre, Cameron et Obama.
Le vote de la résolution de l'ONU vient paradoxalement et cruellement consacrer la résurrection du presque bombardé Bachar, la déroute humiliante de Cameron, le ridicule achevé de l'agitation hollandaise et l'indécision foncière d'Obama.
Si on ajoute la presque disparition de l'opposition non jihadiste à Bachar, l'exportation probable d'une partie des armes chimiques chez les camarades du voisinage et la terrible montée en puissance des islamistes, le triomphe soviétique est total, pour l'heure bien sûr, car pour le futur...
Le plus amusant sera, tout bientôt, la nécessité pour les Occidentaux de soutenir le rempart contre les fous de dieu. et de faire de Bachar un défenseur des démocraties occidentales.
Prévoir un grand concours de dialectique, svp.
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