Le budget 2014 dont le gouvernement tamtam très fort le sérieux aux gogos en est une belle illustration.
Les économies sont à venir et largement hypothétiques (si la croissance… si les réformes…si le chômage…) alors que les dépenses en augmentation sont fermes et définitives (sans surprise en direction de l’électorat qui vote bien)
Alors prévision pour fin 2014 : une dette passant les 2 000 milliards euros et, quelque soient les pantalonnades du Mosco, un déficit public au-delà de 4%.
Vogue le pédalo....
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