Brillamment lâché par l’Europe, il reste (très en gros) Obama un peu empêtré et qui précède autant qu’il suit, l’Arabie Saoudite et la Turquie.
C’est peu et n’est pas forcément très flatteur, pas vrai, héritiers de Jaurès et du Grand Charles réunis?
Le problème n’est donc plus la Syrie mais la marche arrière à effectuer tout en donnant l’impression de progresser, descendre de vélo sans cesser de pédaler en quelque sorte.
Intéressante figure d'acrobatie !
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