J’adore cette affaire de motion de censure, qui ne censure rien
et motionne encore moins.
Eloquence parlementaire, fausses colères et indignations
factices, principes, postures et attitudes, renvoient à d’autres temps et
d’autres mœurs irrémédiablement disparus.
Hier le Palais Bourbon se rejouait
des scènes du répertoire d’un théâtre hors d’âge, comme si le monde n’avait pas
bougé.
Et peut-être qu’il n’a pas bougé ?
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