Ca me rappelle ces vieux acteurs qui, après avoir tant servi et tant fait rigoler, passent soudainement de mode. Trucs trop connus, ficelles trop usées, ils prolongent leur séjour sur la scène et tentent, pitoyablement, de retrouver le filon qui fit leur succès, à jamais tari.
Alors 430 millions de crédits déjà engagés par ailleurs (qu'il faudra redéployer puisqu'on a pas le premier fifrelin) pour financer les vieux trucs qui foirent avec constance depuis un quart de siècle, c'est comme de pisser dans un violon et de faire croire que les anciens grigris marchent encore. Jusqu'en mai.
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