Le programme de Hollande est certainement beau comme le futur qui chante en rose, une proportion savante de trucs symboliques et d’évidences gestionnaires saupoudrée de dépenses destinée à calmer la gauche révolutionnaire institutionnelle et à modérer les craintes du bourgeois progressiste très attaché à son confort et à ses habitudes. Sans oublier la Grandeur de la France, sans laquelle aucun politicien ne franchit le Rubicon.
On voit mal en effet dans ce papier autre chose qu’un exercice littéraire et fonctionnaire que les circonstances annoncées empêcheront forcément d’appliquer.
On voit mal en effet comment on pourrait avoir en même temps le plus grand nombre d’élus et de collectivités territoriales au monde, des armées quasi impériales et gigantesquement coûteuse, une armée de fonctionnaires sans équivalent dans le monde des pays démocratiques, une des plus importantes dettes de la planète des fauchés, le taux de chômage record qui correspond à notre rationnement et taxation suicidaires du travail, etc.
P.S. La carte des circonscriptions des sénateurs ayant voté la loi sur les génocides est celle des circonscriptions où descendants d’Arméniens sont nombreux. Ah l’idéologie…
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