La mort d'un supporter du Paris Saint-Germain, roué de coups le 28 février en marge d'un match de son club contre l'Olympique de Marseille, est traitée avec infiniment de discrétion par la presse unanime, car –attention, prudence- c’est un truc à tarir les flots financiers. Alors on ne rigole plus du tout.
Et on déplore les agissements de quelques rares éléments (les éléments sont toujours rares), on tait soigneusement les vieilles connivences, et on agite de possibles mesures, de celles dont on cause régulièrement avec l'effet que l'on sait...
Les supporters on s’en fout (peuvent crever) mais le manque à gagner, c’est un deuil insoutenable, une douleur profonde… et le Delanoë qui subventionne le PSG pour des actions éducatives (sic) en direction des populations défavorisées (resic) alors qu’il promettait en 2006 une aide à un club… sans hooligans...
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