L'héritier qui rentre en classe de première a fini, à grand peine et misère, ses lectures (obligées) de vacances. Balzac (La peau de chagrin), Baudelaire (Le spleen de Paris), Voltaire (Micromegas), Molière (Tartuffe)...
Le grand avantage des études intensives de français littéraire, de stylistique et d'analyse littéraire qu'imposent les programmes du lycée, c'est certainement que les mômes en sortent avec une sainte horreur de la littérature et des classiques conjuguée avec un dégoût général de la lecture savante.
Et encore, je vous parle d'un môme qui par ailleurs aime beaucoup lire, mais des choses intéressantes, précise-t-il...
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