La nouvelle de la possible pandémie de grippe porcine m'avait laissé relativement indifférent jusqu'à ce que Bachelot, notre immense ministre de la santé et des pansements connexes, déclare que la France y était "particulièrement préparée".
Vu l'état de préparation de la réforme des hôpitaux ou de la santé publique de Bachelot, je n'ai pas été choqué par le fait que nous soyons préparés à une pandémie (comme nous le fûmes à la canicule) Ca veut simplement dire qu'entre deux exercices de ses différents mandats, la ministre nous a fait la faveur d'être informés.
Non, mais l'utilisation de l'expression "particulièrement préparée" (sous entendu, mieux que les autres, comme en 39) révèle simplement qu'on y est pas du tout préparé mais qu'on va s'y préparer avec une particulière diligence pour rattraper le temps perdu.
La préparation commence d'ailleurs demain.
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