Le Bouton de la Société générale, champion du monde de la plus grosse perte bancaire, est aussi le Bouton qui comparait à partir d’aujourd’hui devant le tribunal correctionnel de Paris dans une affaire de « blanchiment aggravé » entre la France et Israël (affaire dite du Sentier 2)
La justice reproche notamment à la Société Générale d'avoir eu connaissance, dès février 1998, "d'un mécanisme de blanchiment de chèques d'origine frauduleuse" résultant "du non respect des règles applicables en matière de contrôle de chèques".
Le même Bouton est l’auteur d’un rapport remarqué « Pour un meilleur gouvernement des entreprises cotées »
Comme on dit dans le Poitou, l'a pas de démain, l'sait tout faire et l'reste.
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