mardi, janvier 23, 2007

I fioretti de Nicola Ulo

J’aurais aimé voter pour Nicolas Hulot.
Pensez, un nom qui a enchanté mes vacances d’enfant, un homme qui n’est pas énarque (merci Seigneur) et qui n’a pas d’expérience politique ni même un parti autre que celui des petits oiseaux et du ciel bleu (merci Saint François)
Je me demande si on n’a pas loupé l’occasion du siècle vu que désormais les couleurs vertes seront défendues par la sénatrice Voynet, de ministérielle et impuissante mémoire, exemplaire aparatchik de l'écologie politique. Par ici la soupe bio.
Reste que Nicolas prend d'immenses risques quand il affirme qu'il a «choisi de faire confiance à la parole et à l'engagement des candidats» Eh oui, vous avez bien lu. Ca sonne comme un De Profundis.

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